Bonne nouvelle? Pas sûr.
La première mise en place riquiqui, bien compréhensible pour un auteur inconnu, semble de pas avoir suffit à répondre à la demande activée par la première vague de buzz (énergiquement) portée par mon premier cercle de proches...
Je n'y comprends rien. Je m'avance dans les méandres de la diffusion du livre en France.
Déjà j'apprends que le diffuseur Interforum a donné l'ordre aux libraires de classer mon livre en Sciences Fiction. Grave erreur. Résultat, personne ne le trouve et les sciences-fiction afficionados risquent d'être sacrément déçus.
Ce livre est à présenter en littérature Messieurs Dames, qu'on se le dise!...
Heureusement mon éditeur a depuis, demandé à rectifier le tir.
Ensuite mes pauvres (et patients) amis baladés de FNACs en FNACS dans Paris à la recherche de stocks disponibles (c'est quand même un comble) découvrent que les dits "stocks" de SENS INTERDIT sont "fictifs"?? Ca veut dire quoi? Mystère.
Et chez les autres grands libraires (je ne cite pas de noms), le livre est invisible.
Finalement, les seules bonnes nouvelles m'arrivent des petits libraires à Paris (merci l'Inconnu) et surtout en Province, qui jouent eux, le jeu . Qu'ils en soient remerciés.
Y aurait-il décidément que les blockbusters qui auraient leurs chances dans ce monde de brutes?
Je croyais que le secteur de la librairie était un secteur en difficulté. J'ai dû mal comprendre. Mon petit livre démarre plutôt bien. Le buzz s'installe, les retours sont bons: quelque chose se passe. Toutes ces ventes perdues et transférées sur des achats en ligne (qui eux proposent des stocks disponibles et livrent en temps et en heure), c'est un peu dommage, non?...
Bon, laisse couler bv, aies confiance en la destinée.
Advienne que pourra. Merci aux (petits) libraires qui, plutôt grands finalement, font leur métier correctement et donnent leurs chances aux nouveaux venants...